Archive | novembre, 2012

Close to Paradise – Byron Bay

27 Nov

 

Finalement, après 1 mois et demi, me voilà enfin à mon endroit de prédilection : Byron Bay. Ce village possède une réputation qui le précède. Il parait qu’une fois que tu le visites, tu ne veux plus en repartir. Un trou noir où les voyageurs se perdent, quoi! Eh bien, ça doit être vrai, car moi-même qui devais rester pour une semaine exactement, je me réveille le dimanche matin avec une note me disant que je dois me rende à la réception de mon auberge. On m’informe alors que je devais partir ce matin…je regarde ma montre il est près de 11h, alors que mon autobus était à 7h 45 du matin. J’étais convaincue que je partais le lendemain! Un peu paniquée, parce que mon horaire est réglé au quart de tour, j’appelle la compagnie d’autobus GreyHound pour changer mon billet et je tombe sur un employé assez mou du cerveau. Alors, je vais directement sur internet, je change mon billet en 2 minutes, sans frais…c’est quasiment trop facile, je trouve ça louche. À l’auberge, le manager m’informe qu’ils ont une place pour moi, donc pas de soucis (No worries, expression par excellence des Australiens) Finalement, mon erreur m’aurait couté une nuit supplémentaire à Byron, quelques gouttes de sueur et beaucoup de plaisir.

Parce qu’il y a évidemment une raison pourquoi les gens refusent de partir.

Byron Bay, c’est le meilleur des deux mondes. Dans le jour, la plage offre de magnifiques conditions de surf et le village grouille d’un heureux mélange de voyageurs et hippies locaux qui fréquentent le nombreux cafés et boutiques. Le soir, c’est la fête! J’ai la chance de rester dans une auberge où les drinking games sont permis et où la fête bat son plein jusqu’à 10h 30. Puis, pas trop loin, il y a différents bars, pour tous les goûts, le mien étant le Woody’s, un bar de surfers où on peut danser sur de la musique old school. Faut dire que j’ai pris un petit coup de vieux, le samedi soir, la ville fût envahie par les «Schoolies», c’est-à-dire les jeunes Australiens qui viennent de finir leur secondaire et qui viennent à Byron Bay faire la fête. Pas moyen de rentrer dans un bar, sans mourir d’asphyxie par la sueur humaine! Eh bon, il commence à y avoir une certaine différence d’attitude entre une personne de 18 ans et de 23.

 

Bref, je ne pourrais pas être plus heureuse que surfer et bronzer dans le jour et sortir faire la fête avec des gens de partout à travers le monde. Décidément Byron tu me manques déjà!

Bye Bye Sydney

14 Nov

Je suis vraiment ambivalente à propos de Sydney. Je sais que c’est la plus grande ville de l’Australie, que les gens sont charmés par la vue du port, du pont et de l’opéra, que vivre à Sydney c’est considéré super trendy. Malgré tout cela, je crois qu’il n’y a pas assez de place dans mon cœur pour que Sydney puisse rivaliser avec mon amour pour Melbourne.

À chaque fois que mes amis Australiens me demandent comment je trouve Sydney (certains d’entre eux n’y sont jamais allés), je n’arrive pas à dire autre chose que : C’est beau….mais Melbourne est tellement mieux! Ah, je m’ennuie de Melbourne et tralala. Je me sens comme si j’avais rompu avec un ex, à qui je pensais encore, pendant que je rencontrais une nouvelle personne et que je ne pouvais pas l’apprécier à sa juste valeur.

Néanmoins, Sydney dans toute sa générosité fut clémente avec moi.

Je résidais dans la banlieue Nord chez mon ami Vern. Je l’ai rencontré en coachsurfant chez lui à Kuala Lumpur, Malaisie, il y a 3 ans durant mon voyage en Asie. Nous avons gardé contact depuis et lorsque j’ai su qu’il avait déménagé à Sydney pour le boulot, j’en ai profité pour le voir une seconde fois.

Dans mon futur appartement, attendez-vous à voir débarquer des gens de partout autour du monde, j’ai pas mal de dettes de «couch».

Opera house

Mon amie Erli m’a convaincue de faire le tour guidé de l’Opéra de Sydney, ce qui somme tout valait vraiment la peine! Le plus impressionnant fut sans conteste l’ampleur de la structure et sa complexité (lire ici dépassement des coûts du budget). Néanmoins, de nos jours cette œuvre architecturale est reconnue à travers le monde comme symbole de Sydney et plus largement de l’Australie…donc j’imagine que ce fût une bonne idée de compléter sa construction.

Voici une photo de l’intérieur, soit la salle de concert.

Pour d’autres infos : http://topics.info.com/Sydney-Opera-House_2258

Radiohead

Quand ton ami te propose son billet de trop pour voir Radiohead, tu ne dis pas non.

J’ai passé une incroyable soirée. Je vous jure un concert de Radiohead c’est «overwhelming» pour tous les sens à la fois. Pourtant, je ne suis pas certaine de tout à fait comprendre l’engouement pour ce band. Comment un groupe qui joue de la musique alternative planante sur le bord psychédélique réussit-il à remplir une salle de spectacle comparable au Centre Bell? C’est le genre de musique que tu écoutes en solo, un album à la fois de A à Z, dans un coin sombre de ta chambre en te sentant mélodramatique. Bref, je n’ai toujours pas compris, peut-être quelqu’un a une théorie?

Après une semaine, je quitte Sydney ce soir pour me rendre à Coffs Harbour (petite ville cotière à 8h de route) pour enfin SURFER!

Bondi vs. Manly

14 Nov

Bondi

J’imagine que mis à part le port, les plages représentent la seconde majeure attraction de la ville. J’ai tout d’abord visité Bondi, décris comme le paradis sur terre dans tous les guides de voyage. Quelle ne fut pas ma déception! (D’ailleurs partagé par ma compagne de voyage, Erli) Premièrement, sur les photos, on dirait que la plage s’étire sur des miles. En vrai, 5 minutes de marche et c’est fini. Bon, ce n’était pas la meilleure journée pour une première impression, car il ventait terriblement. (À chaque fois que je vais à la plage, il vente à se les geler…est-ce mon karma canadien qui ne veut pas me quitter?)

Manly

Là tu parles!

Premièrement, pour se rendre à Manly, il faut prendre le ferry pour 25 minutes. Cette petite excursion offre une vue imprenable sur le port de Sydney, son opéra, et son pont. Photo time!

Puis, la plage Manly est en fait subdivisée en trois plages différentes, ce qui permet de se promener le long de la côté de choisir sa place favorite en fonction de l’ambiance.

Bon, pour être totalement juste envers Bondi, il faut dire que Manly a profité d’une meilleure journée en terme de température et d’ensoleillement. Néanmoins, l’allée de cafés et de magasins, combiné à la marche en nature, procure à Manly une large avance sur sa sœur Bondi. Moi, je vous changerais l’ordre de présentation dans les guides touristiques! Manly for the win!

Melbourne, je t’aime d’amour

12 Nov

Triste d’avoir quitter ma «famille» d’Adélaïde et en même terriblement excitée par la découverte d’une nouvelle ville et l’opportunité de voyager par moi-même, j’arrive à Melbourne dans un drôle mélange d’états d’âme.

Néanmoins, en moins d’une semaine, cette ville éclectique à l’influence européenne a su conquérir mon cœur. Sans hésiter, je peux vous affirmer que je me verrais y vivre. (Pas de panique le déménagement n’est pas prévu pour demain!)

Raisons :

  • Il est facile de s’y retrouver. Tout en étant une ville de plus de 4 millions d’habitants, on peut facilement s’y déplacer à pied.
  • Ça ressemble étrangement à Montréal. Quartiers multiculturels, bouillante de culture, on ne s’ennuit pas à Melbourne, par contre il faut savoir les bons endroits où aller.
  • Le café. Pour ceux qui me connaissent bien, vous savez à quel point je suis une passionnée de café. Alors ici, je suis servie! Dû à une forte immigration européenne, notamment italienne, les Melburnians sont fous à propos de leur café. La chaine américaine Starbucks a eu bien de la difficulté à s’implanter dans la ville. Seules deux succursales sont restées ouvertes, au grand bonheur des petits cafés raffinés.

  • L’aspect underground. Melbourne recèle de milliers de petits trésors cachés. Bar hipster au fond d’une allée, graffiti flamboyant au tournant du coin, vue époustouflante à partir d’un petit café sur le toit d’un édifice. Il semble que la ville ne cesse de se renouveler. D’ailleurs, il y a une allée dédiée au mythique groupe rock ACDC, entièrement composé de bar de musique. Lady Gaga voulait y faire son after-party après un de ses concerts dans la métropole, mais pour cela il fallait annuler un spectacle d’un groupe de musique local. Alors, l’organisation à but non lucratif qui gère l’allée a refusé de lui donner accès. Respect

  • Sans prétention. Il existe une certaine rivalité entre Melbourne, considérée la ville la plus culturelle d’Australie et Sydney la plus grande ville du pays. C’est bien sûr une question de préférences personnelles, mais pour ma part Melbourne gagne, haut la main, la palme de la meilleure ville! L’ambiance de la ville fait d’elle un endroit plaisant où y vivre et sortir sans le flafla prétentieux de Sydney (Attention je sais de quoi je parle j’écris ceci à partir de Sydney)
  • Gratuité. Je suis une voyageuse, tout ce qui est gratuit fait plaisir à mon budget restreint. La ville offre un service de navette gratuite qui fait le tour des principales attractions, accompagnée des commentaires du conducteur. Il y aussi une ligne de tramway qui fait le tour de la ville gratuitement. D’ailleurs, cette ville possède aujourd’hui l’un des plus vaste réseaux de tramway au monde après Bucarest et Milan. L’entrée des principaux musées et centres d’intérêts est ….vous l’aurez deviné gratuite! Ce n’est pas fini, personnellement, je restais dans une auberge de jeunesse qui offrait des multiples opportunités de visiter la ville gratuitement : Tour d’autobus jusqu’aux marchés locaux et plages des banlieues, sortie au Comedy Club,  free walking tour, etc. Bref, pour profiter de la ville à petit budget, il n’y a rien de plus facile!
  • Rencontres. La prochaine raison est fort personnelle, mais les gens que l’on rencontre peuvent faire le jour et la nuit sur notre séjour. À Melbourne, j’ai eu la chance de rapidement me créer un cercle d’amis, formé de personnes ouvertes d’esprit, faciles à vivre, intéressantes et drôles. De belles soirées à parler et à réinventer le monde.

Célébrer l’Halloween comme première soirée à Melbourne

9 Nov

Bien que la route nous fut favorable, nous arrivons à Melbourne tout juste avant l’heure de remise de l’auto..ouf! Erli n’a fait de réservation pour la nuit, elle m’accompagne donc à mon auberge de jeunesse nommée Hotel Discovery.

WATATOW! Je n’ai jamais vu une auberge de jeunesse aussi grande. 600 lits! Ce n’est pas une auberge, c’est une usine! Néanmoins, le personnel est sympathique et je me sens rapidement à mon aise.

Il est vrai qu’après 3 jours de route et de camping le corps et l’esprit sont quelque peu fatigués….néanmoins ce n’est pas une raison de manquer la soirée d’Halloween.

Je me dégote un chapeau de sorcière à 2$, budget de backpacker je rappelle, je réalise que je m’habille plus en noir que j’aime le croire. Donc, accoutrée d’une jupe noire, top orange et noir, chapeau et faux sang, me voilà prête pour la soirée!

Je tente le party dans le sous-sol même de l’auberge. (Ils ont tout sous la même adresse, je vous le dit!) Ce n’était pas leplus folle des ambiance, alors je me dirige vers un autre party. J’ai eu le tip de la part de Jaspar, un charmant hollandais que j’ai rencontré….dans un magasin de vêtements. En voyage, tout endroit est bon pour faire des rencontres. Celui-ci m’a fortement conseillé de me rendre à ce petit bar nommé Thousand Pound Bend à quelques minutes de marche de l’Hotel Discovery.

Quelle ne fut pas ma surprise de me retrouver en plein party de Threadless (compagnie de chandails imprimés, artistiques et loufoques principalement active sur le web + http://www.threadless.com/)

Je fais aussi la rencontre de Drew Funk et de son imposante toque de dreadlocks, un artiste de street art/graffitis/design qui vit actuellement de son art. Ce qui est assez remarquable dans ce domaine. D’ailleurs, au début de janvier prochain, il publiera l’autobiographie de l’ensemble de son œuvre des 10 dernières années. Voici son site web personnel/professionnel : http://www.drewfunk.com/

Photo tirée d’un blogue fort intéressant http://andydonohoe.wordpress.com/2012/06/04/drew-funk/

Cherise sur le sundae, je réussis à me procurer un coupon qui me permet de choisir un design à imprimer. J’ai un faible pour les têtes de mort (Sugar Skulls) c’est temps-ci, une passe Navaho, qui sait? Et puis, un chandail Threadless gratuit…on aime!

J’espère que vous avez passer une joyeuse Halloween et on se voit à Noel!?

Great Ocean Road – la fin

9 Nov

Jour 3

Bon matin!

Voici la vue qui accompagne mon réveil en cette dernière journée de road trip sur la GOR.

Évidemment, je ne pouvais passer outre que la fameuse photo de touriste en dessus de l’enseigne…

ou de jouer à dame nature

Quelques heures de plus et nous sommes arrivés à Melbourne, la plus culturelle de ville d’Australie…hiiii, j’ai hâte de vivre ça!

Great Ocean Road – la continuité

9 Nov

 Jour 2 

Pas trop pressés par le temps, nous profitons de notre passage au Mount Gambier pour jeter un coup d’œil au Blue Lake. Créé par une éruption volcanique, le dépôt de sédiments de couleur ivoire donne à l’eau cette teinte bleue pétillante.

Après quelques heures de route, la vraie affaire commence. Devant nous, la rencontre de l’immensité de l’océan et des falaises façonnées au gré du vent et des remous.

Twelve Apostles

L’apogée de l’expédition se concrétise devant les Twelve Apostles. douze imposantes formations rocheuses qui semblent sortir de terre. Ça m’a pris du temps à comprendre ce que Twelve Apostles voulait dire…jusqu’à tant que mes cours de catéchèses refassent surface dans ma mémoire….ah les douze apôtres! À vrai dire, Ian et moi nous n’en comptons que 10. Qu’est-ce qui est arrivé aux deux autres? Mystère! Peut-être se sont-ils effondrés…ou reconvertis?

Le soleil descend à l’horizon, il est temps de trouver une place où camper pour la nuit. Nous décidons de nous arrêter à Appollo Bay et nous atterrissons dans un camping, dont le bureau d’administration n’est plus ouvert à cette heure, mais un sympathique jeune homme à l’allure hippie qui se prend pour le propriétaire nous dit que nous pouvons y passer la nuit et payer au matin. No worries duuuude!

Le camping est tout juste à côté de l’océan, donc notre sommeil est bercé au son des vagues…quoi demande de plus?

Great Ocean Road ou comment la chance me colle à la peau

6 Nov

Je voulais absolument me rendre d’Adélaïde à Melbourne par la «Great Ocean Road», route qui recèle des nombreuses créations de la nature tout à fait surprenantes.

Pour ce faire, il me fallait trouver un lift, quelqu’un qui voudrait bien partager la route avec moi. J’avais publié ma demande sur gum.tree, site web de petites annonces comparable à notre valeureux Kijiji. Nous étions dimanche, je voulais partir lundi, je n’avais toujours pas de nouvelles….et je n’arrivais pas à me résoudre au fait de prendre l’avion et de manquer les belles vues que la route avait à offrir.

 

MIRACLE!  = En après-midi, je reçois un courriel d’Ian (anglais 30 ans) qui voulant partager les coûts du voyage, me propose la dernière place dans son véhicule.

 

BONUS! =  Il y a aussi une autre fille qui nous accompagne, Erli d’Estonie. Ça me rassure de savoir que nous allons être deux filles, on ne sait jamais, n’est-ce pas?

 

JACKPOT!  = Ian loue une voiture de relocation, ce qui veut dire que la compagnie a besoin que l’auto retourne à Melbourne de toute façon, alors la location par jour coûte 5$ (ridicule), nous avons 150$ de crédit pour le gaz et tout l’équipement de camping (Sac de couchages, matelas, vaisselle, etc.) est fourni.

 

Jour 1

Nous partons d’Adélaïde vers 11 heures. J’ai le cœur lourd. Je me suis retenue de laisser couler des larmes devant mes amis, puisque comme l’adage le dit bien «Big girls don’t cry». J’ai l’impression de quitter la maison…pour ne jamais y revenir. C’est seulement dans l’auto loin de tous, que je finis par craquer. Mes nouveaux compagnons de voyage doivent me prendre pour une folle. Je me console en me disant que j’ai eu la chance de rencontrer des êtres exceptionnels, de créer des amitiés qui vont durer et qu’au plus profond de mon coeur j’ai la conviction que je les reverrais un jour.

La route est longue, mais agréable. j’apprends à connaître ces deux nouvelles personnes avec qui je passerai mes trois prochains jours.

Premier arrêt inusité. The Pink Lake, étendue de sel, qui grâce aux minéraux qu’elle contient, devient rose à la lumière du soleil. Salement rosé. (Désolée pour le mauvais jeu de mots)

 

Quelques autres arrêts, avant d’arriver à notre destination finale pour la journée, le village du Mount Gambier.

Some of the sights along the way

 

Nous atterrissons dans un camping qui nous coûte 10$ par personne et nous avons accès à une cuisine complète, douche et toilettes. Pour des backpackers tels que nous, c’est le luxe.

Bien installés pour la nuit

Avec un minuscule budget (5$/personne) nous nous concoctons un bbq, un réel festin.

Mes compagnons de voyage Ian (Angleterre, 30 ans) et Erli (Estonie, 27 ans) + BBQ

Brûlée par les émotions, partagé entre la tristesse et l’exaltation, je vais me coucher sous la protection de la tente et du palmier.

Some phat new beat.

1 Nov

La musique est une compagne essentielle en voyage.

Certaines pièces se retrouvent sur notre chemin, ponctuant musicalement les moments inoubliables de notre périple, vennant décrire les impressions qui n’ont pas de mots, telles de repères intemporels.

Cette chanson sera toujours l’emblème de mon passage à Adelaide et des instants de félicité passés auprès des mes amis Aussies.

C’est aussi une excellente pièce qui vous convaincra de vous lever de votre sofa, aller rider votre vélo avec vos meilleurs compagnons tels des vagabonds et surtout faire un tour dans la friperie la plus proche de chez vous. Macklemore, le génie derrière tout ça, est un rappeur d’origine irlandaise, mais qui est surtout l’oeuvre de la ville de Seatle.  Accompagné par son producteur Ryan Lewis et la voix soul de Wanz, Macklemore nous a concocté un beat qui réconcilie le ghetto gangsta du hip-hop et le artsy recherché du hipster. Il ne faut pas de se prendre au sérieux et laisser le beat nous envelopper tel un manteau de fourrure.

Just press play!

Site web officiel de l’artiste : http://macklemore.com/