Archive | octobre, 2012

Let’s hear about the Archers

28 Oct

Adelaïde est un véritable repère pour les hipsters et les musiciens. Statistiquement, je crois qu’une personne sur deux doit faire partie d’un band quelquonque (à défaut d’être surfeur).

Bref samedi soir au Jive, place trendy aux murs peinturés de fresques contemporaines, le band The Archers lançaient leur nouveau EP.

Mon ami Sully (introduit dans ce précedent article) est ami avec les membres du band. Il doit d’ailleurs animer la soirée et introduire les bands dans un stand up comedy show.

Sully at his best

Le pauvre, il stress sa vie! Sérieusement je l’admire, je n’aurais jamais le courage de monter sur scène pour essayer de faire rire les gens. Si les goûts en musique sont discutables, le gout en humour l’est encore plus.

Néanmoins, je dois dire qu’il s’est for bien débrouiller. Pour réussir à faire rire la foule grâce à une imitation de wombat sexuellement frustré faut le faire!

ARCHERS

 

Pour vous mettre dans le bain de leur type de musique, je vous conseille de visionner leur vidéoclip promotionnel pour la chanson Seven Skies ( Sully est d’ailleurs figurant, à vous de la trouver!)

Je considère the Archers comme une band typiquement australien. Leurs arrangements musicaux ondulent entre une musique laid-back, tout à fait en accord avec le style de vie des Aussies et des jams tout instrument confondus qui frôlent le psychédélique.

Leur EP est d’ailleurs disponible  GRATUITEMENT sur  leur Bandcamp , juste ici Archer Band Camp 

Facebook page

 

Cleland Park

28 Oct

Bennie, vieux mâle Koala, un peu grincheux mais si doux.

Je crois que le monde n’a jamais été aussi connecté. Aujourd’hui, j’ai fais la rencontre des cousins de ma marraine. Donc,  je suposse de la famille de très loin, let say relatives. Charmant couple de retraités, ils sont pimpants d’énergie et bien décidés à me faire visiter Cleland Park, un centre dédié aux animaux Australiens, qui permet aux gens de rentrer en contact avec eux. J’ai donc pu toucher un koala, un kangourou et autres marsupiaux! J’ai évité le diable de Tasmanie comme la peste, haha.

Je dois avouer par contre que mon coup de cœur va au wombat. J’ai une faible pour les marmottes et comment elles se dandinent dans leur graisse…eh bien le wombat est la version améliorée de ces bestioles. Plus gros,  plus gras, plus pataud, plus penaud, cet animal court sur pattes et tout simplement hilarant. Si je pouvais croire en la réincarnation, je voudrais me réincarner en wombat.

Fatty lazy wombat

Kangaroo Island – Jour 2 – Remarkable Rocks + Admiral Arch + Hanson Bay + Pelicans

28 Oct

REMARKABLE ROCKS

Je croyais que durant cette expédition, ce qui me marquerait le plus serait la rencontre avec les animaux. J’avais tort. Je suis complètement abasourdi devant la beauté et l’esthétique naturelle des Remarquables rocks. Une formation de roche sculptée au gré des intempéries qui se trouve sur le pic de la côte de l’île. La location, la couleur et la forme instituées des roches sont tout à fait impressionnantes. Ma mère m’avait parlé de son propre étonnement face au Grand Canyon, ce que je n’avais pas tout à fait compris sur le moment. Maintenant je comprend, il faut le voir pour comprendre.

Feels like coming out of a Kinder surprise!

ADMIRAL ARCH

Suite, à ce premier émerveillement de la journée, nous nous sommes dirigés vers l’Admiral Arch (Ils ont les noms je vous le dit!). Encore une fois, la collision des couleurs, d’une vibrante intensité, m’enchante. L’eau bleue aqua, le vert de l’herbe et l’orange brunâtre des roches, forme un tableau enchanteur. Le vent est impitoyable, mai qu’importe. Devant nous une arche de terre, d’où vraisemblablement les stalagmites coulent du plafond sont en fait les racines fossilisées d’anciens arbres qui juchaient le sol. Qu’ils soient en train de jouer dans l’eau ou en train de se griller au soleil nous sommes entourés par une colonie de Sea Lion Néozélandais. De couleur plus brunâtre que leurs compatriotes les Sea Lion Australiens, ils dégagent aussi une odeur nauséabonde transportée par la forte brise qui nous entoure.  Mignons mais à distance.

HANSON BAY

L’admiration des paysages saisissants n’est pas terminé. Arrêt à la Hanson Bay, qui devrait se nommer Handsome ou Awesome si vous voulez mon avis. On pourrait se croire en Croatie, si la fraîcheur nous ne ramenait pas à la réalité. l’eau est d’une clarté qui vient rivaliser les plus belles plages des Caraïbes  Des vagues à perte de vue et aucune âme humaine mis à part notre groupe de voyage.Un bon moment pour se rafraichir les poumons à l’air salin.

PELICANS

Dernier arrêt mais non le moindre de cette expédition, un tout petit port qui sert de repère aux pélicans. Oiseau d’une taille imposante, ils néanmoins timides à l’approche de notre présence humaine.

Tout juste avant de s’embarquer pour le ferry du retour, je m’accorde une pinte de cidre en guise de souper après ces deux journées de visite bien chargées.

Bien que le prix de l’expédition est considérable, tous s’accordent pour dire que le cout en vaut vraiment la peine. Je recommande la visite de Kangaroo Island à tous ceux qui passeront un jour par Adelaïde ou le sud de l’Australie.

Wanna see?

24 Oct

Lorsque nos proches sont en voyage, c’est toujours intéressant de savoir où ils restent, de quoi ont l’air leur amis, de quoi bon dieu se nourrissent-ils ? (En tout cas, je trouve.) Thanks to Facebook, cette tâche est devenue plus facile, mais tout de même quelques secrets demeurent.

Alors, laissez-moi vous présenter mon ami Sully, de son vrai nom Michael Sullivan. Sympathique jeune homme que j’ai connu il y a deux ans à Londres et chez qui je réside présentement (Thanks mate!).

Véritable fan et joueur remarquable de cricket (sport pas du tout intuitif si vous voulez mon avis), il est aussi maniaque de vidéos. D’ailleurs dans le cadre d’un cours, il devait produire un court métrage, celui ci-dessus. Et dans ce fameux film, vous pouvez non seulement le voir en tant que personnage principal, accompagné de sa barbe impressionnante (qu’il n’a plus depuis) ainsi que le Shed. Le Shed est le repère par excellence de mes présents colocataires (Sully, Corey et Richard) ou la testostérone est de mise autant que l’insalubrité. Ma présence féminine est exceptionnellement tolérée.

Bref à vous de juger (avec parcimonie par pitié). Toute exagération est purement stylistique, bref tout va bien ne t’inquiète pas maman.

Pour vous mettre en contexte, voici l’introduction que Sully m’a écrit à propos du vidéo. Bon visionnement !

This was the last assignment I did for my film course.

Port Adelaïde or Port Power is one of two south australian, australian rules football teams and has a reputation in the AFL (Australian Football League) of having some of the worst, most bogan, dodgey, feral supporters/fans. As such they are often the butt of many a dodgey supporter jokes. Given the fact that myself and my good friend, who I did this assignment with, both barrack/support passionatly the Port Adelaïde football club we decided to make a short film about a supporte, Barry. The actual criteria for the assignment required us to use a range of camera angles as well as use a story that had not only a beginning middle and end, but also went from order disorder re-order. We filmed on a budget of $0 and it took us three extreme days to film and edit it. Even though we were in a group of three my friend and I literally wrote the whole script, filmed/acted and then did all the editing as well. This was mad fun to do.
I hope it makes sense and I hope you like.

http://vimeo.com/48576145

KI – Jour 1 – Emu Ridge Eucalyptus Distillery + Seal Bay + Little Sahara

24 Oct
EMU RIDGE EUCALUPTUS DISTILLERY

Bref arrêt au Emu Ridge Eucalyptus Distillery. Un centre où l’on produit différents produits de santé et de soin du corps tirés de l’eucalyptus, de la graisse d’émeu et du thé. Bien que la tentation y était, je me suis retenue d’acheter quoi que ce soit. J’oublie toujours d’utiliser les produits par après, pas vous? Par contre, j’ai eu la chance de rencontrer Suzie, une jeune femelle kangourou élevée par la propriétaire. C’est vraiment attendrissant de la voir sucer le lait de la bouteille avec avidité. Ça donne franchement envie d’avoir un kangourou comme animal de compagnie.

Suzie, bebe kangourou nourrit par la proprietaire du centre

SEAL BAY

Après un diner improvisé, mais fort agréable, notre guide Jane nous amène à Seal Bay, repère pour les Australians Sea-Lions. Elle est certifiée pour nous guider sur la plage et surtout imposer une distance raisonnable entre les otaries et nous. Elle nous rappelle que malgré leur quiétude et leur maladresse apparente, ce sont tout de même des animaux sauvages qui peuvent se déplacer plus vite que nous.

C’est tout de même impressionnant de se tenir si prêt de ses bêtes qui se dorent au soleil. Pauvres eux…leur mode de vie les épuise complètement. Ils partent se nourrir en mer pour 3 jours complets, sans aucun répit. Puis, à bout de force, ils retournent à la baie pour 3 jours de repos bien mérité.

Les mâles ne tolèrent pas vraiment les bébés (nommés pups en anglais, n’est-ce pas le plus attendrissant des termes!?). Même que durant la saison de rut, durant l’accouplement, ils ne se gênent pas pour écraser les jeunes otaries. Ah la logique de la nature! Quant aux femelles, elles n’ont pas le réflexe d’adopter les orphelins. Bref, cette espèce est particulièrement en danger, car le taux de survie chez les bébés est extrêmement bas.

D’ailleurs, lors de mon passage on pouvait entendre un jeune pup appelé sa mère par de longs cris plaintifs. Sans réponse… Heartbreaking I swear.

Je me devais de prendre une photo telle une otarie…running gag familial. Ah, ce que l’on ne ferait pas pour la famille!

SANDBOARDING – LITTLE SAHARA

Sandboarding sur les dunes de Little Sahara, essai reussi!

Par un phénomène inexpliqué, il y a littéralement une copie en miniature du Sahara au beau milieu de l’île. Le ciel vient toucher les dunes de sable blanc, tout simplement magnifique! Évidemment, en bons humains que nous sommes nous avons réussi à lui trouver une utilité. Nous voilà donc en train d’escalader une dune armée d’une planche de bois rappelant un toboggan. Prêts pour le sand boarding? Aventureuse de nature, je me lance en premier. Bon…mon premier essai, c’est conclu par une chute magistrale qui ne permit du gouter au sable. Par contre, au deuxième essai, j’avais compris comment contrôler la planche grâce à la balance de mon poids et je me rendis en bas de la dune dans un parfait état d’exaltation.

Une expérience à essayer partout où l’opportunité le permet!

À la fin de la journée, nous sommes allés à notre logement. Nous avions un peu de temps libre pendant que la guide préparait le BBQ du soir, alors j’en ai profité pour aller faire un peu de kayak sur la rivière tout près. J’étais surprise de voir à quel point l’environnement ambiant ressemblait à celui du Canada. En me concentrant, je pouvais m’imaginer être au Canada. La même eau brune, les mêmes courbes des berges sinueuses, la même herbe ondulant au vent. C’était un parfait moment de paix et de ressourcement.

L’heure du souper indique l’arrivée des kangourous dans notre cour. Animaux nocturnes, ils s’éveillent tranquillement à la tombée du jour et se mettent systématiquement à brouter l’herbe. Quel bonheur de pouvoir les côtoyer de si près!

Skippy, Skippy, nos amis les kangourous!

Si vous êtes observateurs (et amateurs de faune comme moi) vous aurez remarqué que cette espèce de kangourou est différente de celle que l’on retrouve en Australie. Plus petits, plus trapus et surtout de couleur brune, cette espèce particulière à l’ile se nomme Kangaroo Island Kangaroo…pour être original tsé!

Après une journée bien chargée, c’est l’heure du dodo, car demain une autre journée bien remplie!

Bonne nuit ou plutôt bon matin pour vous!

KI – Jour 1 – Rob’s Place + Pennington Bay

24 Oct

Rasage du mouton, puis fillage

Premier arrêt d’une journée bien remplie, la ferme de Rob ou Rob’s Place. Robert est en fait un éleveur de moutons. Il nous accueille chaleureusement et nous présente son chien Marty, meilleur chien d’élevage de l’île (Une compétition que l’animal a gagné des années auparavant et il n’y avait que trois chiens en lise… mais vous savez ce que c’est la fierté lol)

Tout d’abord, il nous explique comment le chien conduit les moutons dans l’enclos. Il faut voir les moutons réagir à la présence du chien pour véritablement comprendre l’expression « suivre comme un mouton ». Ces animaux se sentent protégés en groupe et ne semble disposer d’aucune volonté propre, bande de suiveux…

Ensuite, Rob, nous fait la démonstration du rasage d’un mouton.  C’est tout à fait surprenant à quel point le mouton est un animal docile. Rob déplaçait le mouton à sa guise pour pouvoir accéder à l’ensemble du corps de celui-ci et ainsi produire une coupe parfaite pour recueillir le plus de laine possible. Car de la laine, le mouton en manque pas! Cette race particulièrement laineuse est en fait le résultat de nombreuses successions de croisement entre la sélection de moutons les plus laineux de l’Écosse. La laine de la laine, quoi!

PENNINGTON BAY

WOW! Tout simplement wow. Vous savez le sentiment inexplicable que l’on ressent lorsque l’on se retrouve devant une vue d’une beauté inattendue qui nous en coupe le souffle. Voilà ma première impression de la côte de Kangaroo Island. La couleur bleue aqua de l’eau, je suppose due à sa température glaciale, est tout à fait impressionnante. Et malgré la fraicheur quelques valeureux surfeurs (les premiers que j’aperçois de mon voyage) se tentent à attraper les vagues.

Kangaroo Island – Adventure tour

24 Oct

Image

Kangaroo Island (ou KI pour les intimes ;)) est la troisieme plus grande île du territoire australien qui se situe à 112 kilomètres de la ville d’Adelaide. Elle constitue une véritable réserve faunique du à son isolement et 30% de son territoire est protegé sous l’embleme de parcs nationaux.

Pour se rendre, il faut conduire pendant près de 2 heures, avant de s’embarquer sur un ferry qui nous transporte pendant 45 minutes jusqu’aux côtes escarpées de l’île.

Il y a plus de 4 000 résidents sur l’île, mais durant mes deux journées de visite, nous avons croisé que quelques autos par ci par là. Il n’y a même pas de feux de circulation aux intersections.

Partout, où je posais mon regard, devant moi des paysages à perte de vue et pas une âme humaine, mais des moutons, ça alors! L’élevage de moutons est le principal revenu des habitants de l’île, il y a donc dix fois plus de moutons que d’habitants.

Puis, comme seconde source de revenu vient la pêche, particulièrement la pêche à l’homard, bestiole qui peut atteindre une taille montreuse a cet endoit en particulier et qui vaut de l’or auprès des Japonais, qui sont prêts à tout pour mettre la main sur ce mets délicat.

Et puis, il ne faut pas sous-estimer les revenus dus au tourisme. Un tour de deux jours comme le mien coûte 400$. Ce n’est pas donné, mais ça ne reviendrait pas moins cher de visiter l’ile par soi-même de toute manière. Parfois, en voyage faut accepter de jouer le touriste.

http://www.adventuretours.com.au/south-australia/adelaide-to-melbourne

Une virée à la plage Glenelg

11 Oct

GLENELG

Voyez comme je suis à l’aise dans la chaleur tropicale de la plage…NOT!

Vous serez peut-être surpris d’apprendre que présentement à Adelaïde, on se les gèle! Sérieusement, je suis si reconnaissante à mon amie Maude de m’avoir conseillé d’apporter des vêtements chauds. Ce sont les seuls que je porte depuis 5 jours. Aujourd’hui – mardi 9 octobre – est probablement la plus chaude journée de la semaine et encore, lorsque je me retrouve à l’ombre la chair de poule n’est jamais loin.

Néanmoins, en compagnie de Ben et son amie Peta (charmante jeune fille grecque) je décide de faire un tour à la plage la plus proche d’Adelaide, Glenelg. Nous ne sommes pas rester longtemps sur les berges, car le vent nous ne donnait pas beaucoup de répit.  Et bien que l’eau soit claire, elle était considérablement froide. Pourtant, nous avons eu le temps et l’éclair de génie de partir une nouvelle mode. Jugez-en par vous-mêmes.

La dernière mode = porter ses lunettes à l’envers. Makes you see the world upside down.

Et puis de toute façon, ce n’est pas une plage «surfable». D’ailleurs, Maude m’a dit que la côté Sud de l’Australie, qui donne sur l’océan Antarctique et donc sur des réserves infinies de poissons, pingouins, phoques….attire évidement les plus grands prédateurs marins tels que les requins blancs. Disons que ce n’est pas près d’Adelaide que j’y trouverais mon compte pour la baignade. Pas question d’y perdre le petit orteil…ou plus.

CHINATOWN

Mon ami Vern (que j’ai connu en Asie, mais qui réside présentement Sydney, oui j’ai une chance incroyable) a un jour dit: «Chaque ville  possède au moins un Irish Pub et un Chinatown, sinon je ne considère pas ça une ville.» Alors,  je n’ai pas encore trouvé le Irish Pub, mais j’ai fait mon tour au Chinatown. Et quoi de mieux après une froide journée qu’une soupe chinoise et des dumplings? Rien! Ok…mis à part la soupe aux tomates de ma mère (Salut Maman!)

Soirée au Format – for a proper arrival

11 Oct

Apparemment, la première chose à faire en Australie est de prendre une bière. Alors me voici, à peine 2 heures depuis que j’ai posé mon pied en sol Australien, assise sur la terrasse de l’Exeter (un des principaux bars d’Adelaïde) en train de savourer une bière locale en compagnie de mon ami Ben. À peine une heure que nous sommes assis sur la terrasse qui donne directement sur la rue Rundle Mall (rue piétonnière principale de la ville, qui commence comme St-Denis et finie comme Ste-Catherine) que Ben croise au moins 10 personnes qu’il connait. Mon ami Sully dit que la ville d’Adelaïde, n’est pas vraiment une ville, plutôt un grand village…obviously!

Plus tard, nous allons diner à un restaurant  nommé Udaberri.  Je ne suis pas trop dépaysée, le restaurant pourrait être sorti tout droit du Vieux-Port de Montréal. Un look rustique, tables de bois massif, tabourets et manque délibéré de finition. Quant au menu, je n’y comprends rien, mais puisque c’est mon ami qui commande, on se retrouve devant une série d’assiettes à partager, un peu à l’instar de tapas, mais toujours dans un mood rustique. Fromages, saucisses, olives et sans oublier un verre de vin rouge…ou deux.   Dans la ville, tout se trouve à distance raisonnable à pied, donc nous revoilà au précédent bar l’Exeter. Encore une fois, je fais la rencontre des amis à Ben. C’est tout simplement impressionnante à quel point les gens sont sympathiques ici. Vous savez les Canadiens ont une réputation enviable quant à leur gentillesse. Même que les Américains préfèrent porter le drapeau canadien sur leur sac à dos, car ils reçoivent un meilleur accueil de la part des étrangers ainsi. Par contre, je dois avouer que les Australiens nous supassent en matière de gentillesse. C’est incroyable, comment ils sont prêts à tout faire pour vous faire sentir à l’aise. À moins que je sois tombée sur une groupe de personnes particulièrement accueillantes. J’en doute, car depuis personne n’est venu infirmer cette constatation.

Soirée Exeter-Udaberri-Format

OISIMA

Nous avons fini la soirée au bar le plus hispter que j’ai vu de ma vie; le Format. Au premier étage, un large espace où du DIY (do it yourself) art est présenté et au sous-sol un environnement ouvert où traine quelques sofas de façon désordonnée. Ce soir, le DJ Oisima jouait quelques de ses compositions. J’ai compté et nous devions être 25 personnes au total dans tout le bar. Peu importe, l’ambiance était magique.

Je vous suggère fortement de jeter un coup d’oeil sur le travail de cet artiste qui possède l’oreille musicale pour créer des bons rythmes electro, pas agressants du tout!

Facebook: https://www.facebook.com/oisimamusic

Soundcloud: http://soundcloud.com/oisima

Brokers en performance au Rocket Bar

7 Oct

Donc, je m’improvise photographe pour prendre quelques clichés de groupe de mon ami, Ben, nommé Brokers lors de la soirée de lancement du second album du groupe Collarbones.

Brokers

Voici un avant-goût et vous pouvez voir ma sélection des meilleures photos via Flickr: Galerie photo Brokers sur Flickr